Débridement arthroscopique versus réparation du labrum pour les patients ayant un conflit fémoro-acétabulaire : une méta-analyse.
Dec 9 / François DUCOURANT
À la fin des années 1990, Ganz et Beck et al. 1,2 ont mentionné le concept de conflit fémoro-acétabulaire (FAI), qui est un processus mécanique se produisant en raison d'une variation anatomique au niveau de l'acétabulum et/ou de la jonction tête-col du fémur.
Le FAI est la cause commune de la douleur de la hanche chez les jeunes, en particulier chez les athlètes. Selon le mécanisme de la lésion, la FAI peut être divisé en trois types : type cam, type pince et type mixte. Le labrum acétabulaire est une structure importante qui augmente la profondeur acétabulaire et assure une répartition adéquate des charges dans l'articulation de la hanche. Il est important de noter qu'il est facile de causer des dommages au cartilage articulaire et des déchirures du labrum acétabulaire après des chocs répétés, ce qui peut conduire à l'arthrose.
Le traitement chirurgical des lésions du labrum dues aux FAI peut être soit un débridement (LD) soit une réparation du labrum (LR), et est toujours controversé. Jusqu'à présent, certaines études cliniques ont comparé les résultats radiographiques et fonctionnels entre les techniques arthroscopiques de LD et de LR. Certaines ont révélé que les résultats à court et moyen terme de la LD dans les hanches non arthritiques montraient une supériorité fonctionnelle par rapport à la RL 10-12. En revanche, Espinosa et al. soutiennent que les patients traités par refixation/réparation se rétablissaient plus tôt et avaient des résultats cliniques et radiographiques supérieurs à ceux des patients ayant subi une résection d'un labrum déchiré.
Cependant, il n'y a pas eu d'évaluations quantitatives systématiques entre les deux techniques. Cet article inclut cinq études pertinentes visant à comparer les résultats cliniques des techniques arthroscopiques de LD et de LR dans les FAI afin de fournir des éléments de preuve pour la prise de décision clinique.
Cinq études ont été sélectionnées auprès de PubMed, Medline, Embase et Cochrane Library par les auteurs de l'étude ici traduite et synthétisée. Les données ont été extraites par deux des coauteurs indépendamment et ont été analysées par RevMan. Les différences moyennes (MD), les rapports de cotes (OR) et les intervalles de confiance (IC) à 95% ont été calculés. L'outil d'évaluation du risque de biais de la Cochrane Collaboration et l'échelle Newcastle-Ottawa ont été utilisés pour évaluer le risque de biais.
Résultats :
Quatre études d'observation et une étude prospective randomisée ont été évaluées. La qualité méthodologique des essais a indiqué un risque de biais faible à modéré.
Les résultats regroupés du Non-Arthritic Hip Score (NAHS), du taux d'échec des interventions chirurgicales et des complications ont montré que les différences n'étaient pas statistiquement significatives entre les deux interventions

La différence entre le modified Harris Hip Score (mHHS) (MD=9.5, 95% CI=14.36 to 4.64, P=.0001), le score de l'échelle visuelle analogique (VAS) (MD=1.14, 95%CI=0.51–1.77, P =.0004) et le taux de satisfaction (95%CI=0.07–0.43, P=.0002) était statistiquement significative entre l'intervention LD et LR, et le traitement LR était plus efficace.

L'analyse de sensibilité a prouvé la stabilité des résultats mis en commun et il y avait trop peu d'articles inclus pour vérifier le biais de publication.

Discussion :
Les résultats de cette méta-analyse ont montré que les différences n'étaient pas statistiquement significatives entre les deux interventions pour le NAHS. Cependant, la différence de mHHS, de VAS et de taux de satisfaction était statistiquement significative entre l'intervention LD et LR, et la technique LR a prouvé qu'elle avait une efficacité supérieure.
Le débridement /résection focale du labrum est techniquement simple, mais ne recrée pas l'effet d'aspiration, et peut compromettre la répartition de la charge et engendrer une contrainte en cisaillement. Par contre, la reconstruction/réparation pourrait recréer l'effet d'aspiration, réduire potentiellement la micro-instabilité et montrer une tendance à un résultat clinique supérieur.
Bien que la LD/résection puisse mener à la résolution des symptômes, les tests biomécaniques confirment l'importance de la préservation ou de la reconstruction pour optimiser et normaliser la cinématique articulaire. Les tests de distraction ont montré que la reconstruction et la réparation sont supérieures à la résection segmentaire, alors que les tests de compression axiale sont controversés. Avec la compression et la rotation externe, le LR a montré une supériorité par rapport à la reconstruction et à la résection. Cependant, la mesure de la pression du liquide intra-articulaire lors de la compression suggère que la reconstruction est supérieure au LR.
Bien qu'il ait été démontré que la préservation du labrum donne des résultats durables et semble, à l'heure actuelle, préférable au débridement/à la résection segmentaire, certaines circonstances cliniques peuvent l’empêcher. Dans les cas où le labrum est irrécupérable, la reconstruction est soutenue cliniquement et biomécaniquement comme une option pour optimiser la mécanique articulaire, améliorer la fonction et promouvoir l'atténuation de la douleur pour certains individus.
Concernant les complications, dans l'ensemble, 8 (8%) complications dans le cadre d'une chirurgie de LD ont été signalées et 5 (5,3%) complications dans le cadre d'une chirurgie de LR ont été signalées dans 3 études incluses 14,15,17.
En outre, les résultats ont rapporté le taux d'échec des opérations entre la LD et la LR, et aucune différence n'a été trouvée entre elles. En ce qui concerne la difficulté de l'opération, la difficulté de la LR est plus élevée que celle de la LD. Le taux d'échec des opérations de LR est plus élevé que celui du groupe LD en raison de la limitation du niveau personnel de l'opérateur.
Conclusion
En conclusion, la LD et la LR arthroscopiques sont des options viables pour le traitement de la déchirure du labrum acétabulaire par FAI. Le traitement LR est plus efficace et présente des complications comparables à celles du traitement LD, ce qui indique que la technique LR arthroscopique pourrait être recommandée comme technique de choix pour les FAI. Cependant, des études plus importantes avec un suivi plus long sont nécessaires.
BIBLIOGRAPHIE
Article de référence :
Wu, Z. X., Ren, W. X., Ren, Y. M., & Tian, M. Q. (2020). Arthroscopic labral debridement versus labral repair for patients with femoroacetabular impingement: A meta-analysis. Medicine, 99(19), e20141.
Bibliographie :
[1] Ganz R, Parvizi J, Beck M, et al. Femoroacetabular impingement: a cause for osteoarthritis of the hip. Clin Orthop Relat Res 2003;417: 112.
[2] Beck M, Leunig M, Parvizi J, et al. Anterior femoroacetabular impingement: part II. Midterm results of surgical treatment. Clin Orthop Relat Res 2004;418:67–73.
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Alice Kongsted
Alice Kongsted est professeure au Département des sciences du sport et de biomécanique clinique de l'université du Danemark du Sud et chercheuse principale à l'Institut nordique de chiropratique et de biomécanique clinique. Ses recherches portent sur la douleur rachidienne, en particulier sur la prise en charge en soins primaires des maux de dos, et sur l'épidémiologie clinique. Elle a dirigé le développement de « GLA:D Back », un programme d'éducation du patient et d’exercices destiné aux personnes souffrant de maux de dos persistants. Alice Kongsted est également rédactrice en chef adjointe des revues BMC Musculoskeletal Disorders et de Chiropractic & Manual Therapies. Elle a été étroitement impliquée dans l'élaboration par l'Autorité sanitaire danoise de directives cliniques nationales pour le traitement de la radiculopathie lombaire, de la radiculopathie cervicale et des cervicalgies non spécifiques.
Elle a fait partie du groupe de travail Lancet Low Back Pain Series qui a publié trois articles en mars 2018 pour appeler à une reconnaissance mondiale du handicap associé aux maux de dos et à la nécessité de donner la priorité à ce problème croissant à l'échelle mondiale.
Alan Sealy
Membre de la Chartered Society of Physiotherapy (MCSP), Alan est diplômé de l'université de Sheffield Hallam (1996) (Bsc, 1ère classe avec distinction), où il a également obtenu son diplôme de troisième cycle en thérapie manuelle en 1999.De par sa formation en thérapie manuelle, Alan travaille comme spécialiste clinique en réadaptation vestibulaire. Initialement au sein du NHS (National Health Service) et en tant qu'associé en pratique privée à Sheffield, Alan a en effet développé un intérêt précoce pour les vertiges et les troubles de l'équilibre.
Il a développé la clinique d'équilibre la plus active de Scandinavie, la « Balanse Klinikken » à Oslo, dont il est directeur de la rééducation. Plus récemment, il est devenu également directeur de la clinique d'équilibre d'Aberdeen (Ecosse). Il a ainsi traité et soigné plus de 7000 patients présentant des troubles de l’équilibre et/ou des vertiges. Cette expérience considérable est utilisée dans la recherche et l'enseignement à travers le Royaume-Uni, la Scandinavie et l'Europe occidentale.
Alan a présenté de nombreuses conférences nationales et internationales dans le domaine de la rééducation vestibulaire et a publié des articles dans des revues à comité de lecture. Maintenant basé à Aberdeen, son temps est partagé entre sa pratique privée, ses conférences et occasionnellement ses recherches.
Alastair Flett
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Alli Gokeler
Alli a obtenu son diplôme en physiothérapie en 1990 à la Rijkshogeschool de Groningue (Pays-Bas) puis est devenu instructeur certifié médecine orthopédique et thérapie manuelle en 1999. De 1991 à 2001, il a travaillé comme kinésithérapeute aux États-Unis et en Allemagne. À son retour aux Pays-Bas, il a obtenu un diplôme en physiothérapie sportive de l'université des sciences appliquées d'Utrecht en 2003. En 2005, il a commencé son projet de doctorat au Centre médical universitaire de Groningue (Centre de rééducation). Alli a un intérêt particulier pour le contrôle moteur après des blessures du ligament croisé antérieur (LCA).
Il travaille actuellement sur un projet post-doctorat en relation le développement de programmes de prévention conçus pour réduire l'incidence du taux de blessures du LCA secondaires et la survenue associée d'arthrose.
Depuis 2001, Alli est kinésithérapeute et directeur du Medisch Centrum Zuid à Groningue, aux Pays-Bas. Il a enseigné les sciences appliquées à l’Université Hanze (École de physiothérapie), toujours à Groningue, de 2002 à 2004.
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Andrew est physiothérapeute consultant et spécialiste des membres supérieurs. Il travaille à la fois dans le NHS (National Health Service) et en pratique privée. Andrew est également un universitaire engagé et étudie dans le cadre de son doctorat à l'université de Keele (Royaume-Uni).
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Anju est un physiothérapeute consultant avec un intérêt clinique pour le dysfonctionnement de l'épaule. Elle est également directrice adjointe de la recherche et de l'innovation thérapeutiques au Royal National Orthopaedic Hospital (RNOHT). Elle travaille au RNOHT depuis plus de 20 ans, dont 18 ans en réadaptation clinique dans la gestion de la dysfonction complexe de l'épaule avec un intérêt particulier pour l'instabilité atraumatique de l'épaule. Elle a publié des travaux dans le domaine du contrôle moteur de l'épaule, co-supervisé des projets d'étudiants de troisième cycle et est impliquée dans des études de recherche financées en collaboration avec des partenaires commerciaux et universitaires, dont l'essai NIHR GRASP avec l'université d'Oxford. Elle dirige actuellement un essai clinique randomisé sur le rôle de la chirurgie dans l'instabilité atraumatique de l'épaule avec l'équipe chirurgicale du RNOHT en collaboration avec le Pr Ginn de l'université de Sydney. Elle chargée d'enseignement clinique à l'University College London (UCL). Elle a été présidente de la European Society of Shoulder & Elbow Rehabilitation (EUSSER) de 2012 à 2015 et est actuellement membre du conseil de la British Shoulder & Elbow Society (BESS). Elle siège actuellement au comité du National Institute of Clinical Excellence (NICE) pour les lignes directrices en matière d'arthroplastie de la hanche, du genou et de l'épaule.
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Henrik Riel (PT, PhD) est un physiothérapeute depuis 2011, travaillant à la fois en clinique et en cabinet. Il est titulaire d’un doctorat de l’Unité de recherche en médecine générale de l’Université d’Aalborg (Danemark), qui porte sur la mise en œuvre et le développement de nouvelles technologies au sein du système de santé.
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Bart Dingenen (kinésithérapeute, PhD à l'Université de Hasselt en Belgique) est actuellement chercheur postdoctoral universitaire et professeur à l'université de Hasselt (Belgique) tout en exerçant comme kinésithérapeute du sport dans une clinique privée (Motion to Balance, Genk).
Il s'intéresse principalement aux stratégies d'optimisation des stratégies de prévention et de rééducation des blessures sportives des membres inférieurs, notamment les blessures du ligament croisé antérieur, l'instabilité chronique de la cheville et les blessures liées à la course à pied.
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Ben Steele-Turner
Ben est physiothérapeute spécialisé en musculosquelettique et nutritionniste associé au Cranfold Physical Therapy Center à Surrey (Royaume-Uni). Après une formation en entraînement personnalisé et un BSc (Hons) en physiothérapie, Ben est devenu de plus en plus conscient de l'impact des habitudes alimentaires sur les patients et les clients. Cela l'a amené à compléter un MSc en nutrition humaine. Ben combine ainsi son expérience en entraînement, en physiothérapie et sa compréhension de la nutrition dans une approche globale de la gestion des patients.
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PhD MSc (Adv Phys) BSc (Hons) (Physiothérapie)
Maître de conférences invité, Hertfordshire University
Bradley est un physiothérapeute qui a travaillé dans le service public (NHS), le sport d'élite et dans le privé au cours des 13 dernières années. Il a obtenu sa MSc en physiothérapie musculosquelettique avancée à l'université d’Hertfordshire en 2011 avant de rejoindre Pure Sports Medicine en tant que physiothérapeute spécialiste de l'appareil locomoteur et responsable de la recherche. Il a commencé ses études de doctorat à l'université Queen Mary de Londres (QMUL) en étudiant l'influence de la biomécanique des membres inférieurs dans le développement, la persistance et la gestion de la douleur fémoro-patellaire en avril 2014, qu'il a récemment soutenue avec succès. Il combine sa recherche avec des rôles cliniques et d'enseignement et se considère comme un universitaire clinicien.
Alison Sim
Dr Alison Sim a obtenu son diplôme d'ostéopathe en 2001. Elle détient une maîtrise en gestion de la douleur de la faculté de médecine de l'université de Sydney et du Royal North Shore Pain Management Research Institute. Elle s'intéresse particulièrement à la douleur persistante, avec une approche décrite comme une « globale » où l'accent est mis sur tous les aspects de la vie d'une personne qui pourraient avoir un impact sur la douleur. Alison a également donné des conférences à l'université catholique australienne, à l'université Victoria, au RMIT et à l'université George Fox dans divers domaines scientifiques et cliniques. En plus de ses activités de chargée de cours, elle a travaillé au sein de l'équipe enseignante de la Deakin University Medical School (Geelong, Australie).
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PT, PhD, MBA, FAPTA, Chad est professeur titulaire à l'université Duke à Durham (Caroline du Nord), chercheur clinicien, physiothérapeute et défenseur de la profession avec une longue expérience en termes d'excellence et de service en matière de soins cliniques. Ses passions incluent l’affinage et l'amélioration du processus d'examen des patients et la validation des outils utilisés dans la pratique quotidienne des physiothérapeutes. À l'heure actuelle, le Dr Cook est impliqué dans plusieurs subventions et a publié plus de 250 articles évalués par des pairs. Il est lauréat de plusieurs prix pour l'enseignement et la recherche et est un conférencier international.
Chris Johnson
Chris Johnson a obtenu un BSc avec distinction en physiothérapie à l'université du Delaware (Etats-Unis), tout en complétant une bourse d'études supérieures en orthopédie/sports sous la direction du Dr Michael J. Axe, fondateur du First State Orthopaedics. Après l'obtention de son diplôme, il a déménagé à New York pour travailler au Nicholas Institute of Sports Medicine et à l’Athletic Trauma de l'hôpital Lenox Hill en tant que physiothérapeute et chercheur. Il y est resté jusqu'en 2010, date à laquelle il a ouvert son propre centre de physiothérapie et de performance, Chris Johnson PT, dans le Flatiron District de Manhattan avant de déménager à Seattle. En plus d'être physiothérapeute, Chris est un entraîneur de triathlon certifié (ITCA), trois fois triathlète All American, deux fois qualifié à l’Ironman à Kailua-Kona. Chris est également abondamment publié dans la littérature médicale, tient une chronique mensuelle sur le site Ironman et a sa propre chaîne Youtube.
Chris Mercer
Chris s'intéresse particulièrement aux rôles de pratique avancée et à la pathologie grave de la colonne vertébrale, en particulier le syndrome de la queue de cheval, et a beaucoup collaboré avec Laura, James Selfe et Sue Greenhalgh, enseignant et publiant sur Spinal Masqueraders. Il est actuellement coprésident du réseau national britannique de consultants en physiothérapie et ancien président de l'Association musculosquelettique des physiothérapeutes agréés. Parallèlement à son travail clinique, il est actuellement responsable national du volet musculosquelettique primaire et communautaire du programme de santé #Best MSK.
Rolf Walter
Alan